Aujourd’hui dans le cadre de notre rubrique minute partenaire, nous rencontrons Nicolas Destruel, gérant de la société Déesse Distribution. Un portrait passion dans lequel Nicolas nous livre ses impressions sur le club, son projet et nous parle de son amour du bon café !
Bonjour Nicolas, merci d’être avec nous aujourd’hui dans le cadre de la minute partenaire. Pouvez-vous vous présenter et revenir brièvement sur votre parcours pour nos lecteurs ?
Bonjour à tous, je m’appelle Nicolas Destruel, je suis originaire du Cantal et je suis arrivé dans le coin pour faire des études dans la restauration. Je suis ensuite entré dans la distribution de boissons pour les professionnels, secteur dans lequel j’ai travaillé pendant de nombreuses années et qui m’a permis de rencontrer Christophe Roc. Je suis ensuite sorti un peu de la distrib pour retourner à mes premiers amours dans la restauration. J’ai ensuite créé ma société d’import/export de café. J’ai longtemps travaillé sur la marque Kimbo avec ma précédente entreprise et je distribue maintenant Café Mauro. Mon objectif avec mon entreprise est de fournir un café de qualité que ce soit aux professionnels ou aux particuliers.
J’ai choisi cette marque car elle a des produits qui répondent aux besoins de ces deux cibles. En plus de cette partie grain de café, je suis aussi distributeur de machines à café de la marque Jura. C’est une marque Suisse de grande qualité qui permet aux individus d’accéder au rendu professionnel chez eux. Pour moi, l’activité café est une passion ! Il y a une belle dynamique de découverte et d’exploration. J’aime faire découvrir de vrais produits accessibles.
Qui sont vos clients à l’heure actuelle ?
Je travaille avec des entreprises d’ici, des cabinets d’architectes, des partenaires du HBCAM63 tels que NGE, Charles Bonpain, des concessions et autres ! L’avantage du café c’est qu’il est bu partout, j’ai aussi des particuliers mais pour le moment la majorité de mon activité est tournée autour des entreprises locales.
Comment avez-vous connu le HBCAM63 ?
Je l’ai connu par l’intermédiaire de Christophe Roc, qui est un ancien collègue. La dynamique m’a tout de suite plu. Une équipe féminine, qui veut valoriser le sport et qui conserve une certaine fraîcheur ! Le club et le projet sont en accord avec les valeurs humaines que j’apprécie. Je suis aussi un sportif, ancien rugbyman j’ai joué longtemps à l’ASM aux prémices de l’ère professionnelle et après à Riom. La volonté qu’a le club de promouvoir le double parcours pour les joueuses et leur permettre de faciliter leur intégration après carrière c’est quelque chose qui me parle et me plait et pour lequel je suis heureux de faire un geste.
Comment cela s’est passé pour vous avez la COVID-19 ?
J’ai la chance de ne pas avoir une grosse structure donc je me suis un peu protégé et recroquevillé sur moi même pendant quelque temps pour limiter la casse. J’ai continué à travailler avec mes clients à échelle humaine et j’ai bénéficié de quelques aides très appréciées.
Quelles sont pour vous les prochaines étapes dans le développement de votre entreprise?
Les prochaines étapes pour moi seraient de générer un volume suffisant pour ouvrir un site internet, puis pourquoi pas une boutique et faire rentrer d’autres marques du sud de l’Italie ! Je n’ai rien contre les marques françaises, je suis chauvin mais pour le café j’aime les produits italiens. Je pense qu’ils ont un savoir-faire traditionnel et unique et j’aime valoriser cette dynamique. J’ai beaucoup voyagé dans le sud du pays et j’y ai trouvé ce goût et cette qualité de produit qui sont pour moi inimitables.
Un petit mot sur les résultats sportifs de nos Volcaniques ?
C’est dommage de ne pas avoir réussi à accrocher les play-off ! Mais je suis sûr que les filles vont se mobiliser et assurer leur maintien. J’ai eu l’occasion de ne voir qu’un match, contre Plan de Cuques en Coupe de France, ça avait été un beau spectacle. Le handball est un sport que j’aime beaucoup, il est très convivial et accessible, j’espère qu’on va pouvoir vite revenir dans les gymnases.
